La crise des banlieues
Depuis le décés de deux jeunes, tout s’est basculé en France. Je pense que personne ne peut rester indifférent à cette violence urbaine qui s’étend déjà à tout le territoire français. Personne n’a rien vu de tel en Europe au cours de ces dernières décénies.
Est-il vrai que de mauvaises politiques d’intégration et d’un chomâge persistant peuvent être à l’origine de ces emeutes ?
Ou le problème serait-il plus profond : l’éternel guerre des religions ?
Serait-ce un avertissement pour le reste de l’Europe ?
Pour combattre ce problème, le gouvernement a décidé d’appliquer
le couvre-feu qui est entré en vigueur, mercredi 9 novembre au soir, dans plusieurs villes de cinq départements en France. Heureusement la tendance à la baisse des violences urbaines s'est confirmée, notamment en région parisienne, où les émeutes avaient débuté.
Le ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, a demandé aux préfets d'expulser tous les étrangers condamnés dans le cadre des violences urbaines des treize dernières nuits, y compris, les titulaires d'un titre de séjour. Serait-ce possible au Portugal? Qu'en pensez-vous?
Est-il vrai que de mauvaises politiques d’intégration et d’un chomâge persistant peuvent être à l’origine de ces emeutes ?
Ou le problème serait-il plus profond : l’éternel guerre des religions ?
Serait-ce un avertissement pour le reste de l’Europe ?
Pour combattre ce problème, le gouvernement a décidé d’appliquer
le couvre-feu qui est entré en vigueur, mercredi 9 novembre au soir, dans plusieurs villes de cinq départements en France. Heureusement la tendance à la baisse des violences urbaines s'est confirmée, notamment en région parisienne, où les émeutes avaient débuté.
Le ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, a demandé aux préfets d'expulser tous les étrangers condamnés dans le cadre des violences urbaines des treize dernières nuits, y compris, les titulaires d'un titre de séjour. Serait-ce possible au Portugal? Qu'en pensez-vous?
2 Comments:
At 10/11/05 13:47, Anónimo said…
Esta situação em França faz-me pensar no papel das instituições que temos. O s governos, tão preocupados com os aspectos económicos, desligam-se muitas vezes da vertente humanista da política. Os meios de comunicação social dão palco para que os criminosos tenham tempo de antena e em directo para representar a sua raiva e descontentamento. Estamos na era do directo, sentimentos em directo, o íntimo em directo ... volto daqui a pouco porque vou dar aula
At 10/11/05 15:32, Anónimo said…
já regressei...e o português usado no comentário anterior está rasca.
...estava eu a dizer que estamos na era do directo e os meios de comunicação não reflectem sobre o impacto das suas notícias e imagens. A propósito dos tumultos em França li um texto num blog muito interessante. Aqui vai:
http://naoseiquediga.blogspot.com/
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